C'est fini !

Février. Je suis partie une nuit d'hiver et revenue une autre nuit, fuyant le soleil, la lumière, les autres. Puis, plus rien. Impossible de dire, de respirer en silence, d'ouvrir les yeux.
Mais depuis peu l'odeur de la vase ne me manque plus, le doux claquement des algues sur ma jambe ne me hante plus non plus. Je me sens enfin assez forte pour raconter...